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Elektra : 4e BIENNALE INTERNATIONALE D’ART NUMÉRIQUE – ELEKTRA 2018

BIAN

Créée en 2012, la Biennale Internationale d’Art Numérique (BIAN) est une grande exposition d’art contemporain orientée vers le numérique.

 La 4ème édition revient du 29 juin au 5 août à Arsenal art contemporain Montréal sous le thème AUTOMATA – Chante le corps électrique en référence au poème de Walt Whitman, « Je chante le corps électrique » (1855). De nos jours, les corps « électrisés » communiquent avec d’autres corps et d’autres systèmes de multiples façons, toujours plus innovantes. Ainsi, au-delà de la réalité de nos corps augmentés en devenir, à l’ère de l’anthropocène, il semble plus que jamais nécessaire de questionner notre rapport aux technologies et les conséquences de celles-ci sur la nature.

PROGRAMMATION

Pour toutes les informations sur la BIAN, s’il vous plaît consulter le site d’Elektra.

BILLETTERIE

Pour la soirée d’ouverture, voir le lien ici.
Billets en vente sur place également.
Tarif régulier : 25$
Tarif étudiant et sénior : 20$

Pour l’exposition, les billets sont en vente sur place uniquement.
Tarif régulier : 15$
Tarif étudiant et sénior : 10$

Artistes exposés

  • Ralf Baecker
  • Nicolas Baier
  • Adam Basanta
  • Graham Caldwell
  • Aleksandra Domanović
  • Omer Fast
  • Ed Fornieles
  • Rodney Graham
  • Eduardo Kac
  • Ali Kazma
  • Light Society
  • Bernd Linterman & Nikolaus Völzow
  • Yang Luo
  • Robin Meier
  • Manfred Mohr
  • Caroline Monnet
  • Wang Ningde
  • Ugo Rondinone
  • Daniel Rozin
  • Skawennati
  • TeamVoid & Youngkak Cho
  • Christa Sommerer & Laurent Mignonneau
  • Addie Wagenknecht

Performances

  • Anne-James Chaton
  • Cod.act
  • Li alin
  • Nsdos
  • Projet Eva

Ed Fornieles, Mother, 2017

Sculpture en fibre de verre, socle en aluminium,
78 ⅝" x 39 ¼" x 39 ¼" (199,7 x 99,7 x 99,7 cm)

01 / 18

Bernd Linterman & Nikolaus Völzow, Bibliotheca Digitalis: Three Phases of Digitalization, 2017

Installation interactive,
Dimensions variables

02 / 18

Light Society, Whispers, 2018

Installation,
Dimensions variables

03 / 18

Manfred Mohr, “P1680-D”, Artificiata II & P1690_2X8, 2014-2015

Installation générative, encre pigmentée sur papier, Dimensions variables

04 / 18

Christa Sommerer & Laurent Mignonneau, Portrait on the Fly, 2015

Installation interactive,
Dimensions variables

05 / 18

TeamVoid & Youngkak Cho, Over the Air, 2018

Installation robotique,
Dimensions variables

06 / 18

TeamVoid & Youngkak Cho, Over the Air, 2018

Robotic installation,
Dimensions variables

07 / 18

Caroline Monnet, Like ships in the night, 2018

Installation: vidéo, sculptures, photographies,
Dimensions variables

08 / 18

Daniel Rozin, Wooden Mirror, 2014

Installation interactive,
94 1/2" x 39 1/5" x 55 9/10" (240 x 97 x 142 cm)

09 / 18

Aleksandra Domanović, Substances of Human Origin, 2015

Installation,
47 ¼" x 23 ⅗" x 23 ⅗" (120 x 60 x 60 cm)

10 / 18

Aleksandra Domanović, Things to Come, 2014

Installation,
Dimensions variables

11 / 18

Omer Fast, August, 2016

Vidéo 3D,
15 min. 33 sec.

12 / 18

Robin Meier, Synchronicity, 2015

Installation,
Dimensions variables

13 / 18

Vue d’installation

14 / 18

Adam Basanta, All We’d Ever Need is One Another / Tout ce dont nous aurons besoin est l’un de l’autre, 2018

Installation,
Dimensions variables

15 / 18

Ali Kazma, Robot (série Résistance), 2013

Vidéo,
Dimensions variables

16 / 18

Ralf Baecker, Mirage, 2014

Installation,
Dimensions variables

17 / 18

Skawennati, Timetraveller, 2012

Vidéo,
Dimensions variables

18 / 18

À propos de l'artiste

Créée en 2012, la Biennale Internationale d’Art Numérique (BIAN) est une grande exposition d’art contemporain orientée vers le numérique.

 La 4ème édition revient du 29 juin au 5 août à Arsenal art contemporain Montréal sous le thème AUTOMATA – Chante le corps électrique en référence au poème de Walt Whitman, « Je chante le corps électrique » (1855). De nos jours, les corps « électrisés » communiquent avec d’autres corps et d’autres systèmes de multiples façons, toujours plus innovantes. Ainsi, au-delà de la réalité de nos corps augmentés en devenir, à l’ère de l’anthropocène, il semble plus que jamais nécessaire de questionner notre rapport aux technologies et les conséquences de celles-ci sur la nature.

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